Les Rendez-Vous Electroniques : Les Images |
Limage occupe
une part importante dans lunivers des cultures
électroniques. Elle peut illustrer la musique,
par exemple avec les clips, elle est donc au centre
dune collaboration étroite entre graphistes,
scénaristes et musiciens. Limage est réinterprétée
par le biais des "Ciné - DJs mix",
elle est également un sujet pour des réalisateurs
de documentaires, de courts et longs métrages.
Les Rendez-Vous Images concernent plusieurs lieux répartis
dans la ville.. |
Pavillon de lArsenal
"Centre dinformation, de documentation et
dexposition durbanisme et darchitecture
de Paris" 21, bd Morland, 75004 Paris, M° :
Sully-Morland |
Technopol propose
cette année dexplorer la thématique
"Culture électronique, Urbanisme et Architecture"
notamment via limage qui illustre le plus clairement
ce lien : du Net art en passant par la photo et la vidéo
ou encore les installations, lobjectif de Technopol
est de mettre en avant la passerelle qui existe depuis
lorigine entre musiques électroniques et
image.
Les 10, 11, 12 septembre : exposition
multimédia
La musique électronique est profondément
urbaine : Detroit, Chicago, Londres, Berlin, toutes
ces villes ont marqué lhistoire des musiques
électroniques. Leur architecture, leur tissu
urbain, leurs industries ont fortement influencé
les sonorités et les rythmes électro.
De la vidéo en passant par la photo, le Net art,
le graphisme ou encore les clips, lobjectif est
de mettre en avant la passerelle qui existe depuis lorigine
entre notre culture électronique et la ville.
Net art
Des sites dartistes interactifs invitent linternaute
à créer la ville, se l'approprier, partager
sa poésie.
- Pierrick Calvez vous propose de suivre le parcours
de Mr Brown, citadin ordinaire dans un environnement
urbain ou de vous reposer en lisant un poème
magnifiquement mis en scène. [www.1h05.com]
- Le collectif allemand Akuvido, vainqueur du
concours International de Net art au festival Villette
Numérique, propose "Stadt Sound Station",
une uvre interactive autour de la ville et des
maillages qui la composent. [www.akuvido.de]
- La vision des villes parcourues par lartiste
anglais Steve Tanza est le fruit dune approche
multiforme mélangeant multimédia, musiques
électroniques et peinture. [www.stanza.co.uk]
- Hyperdensity de Benoît Durandin et Numeris
Causa présente une réflexion autour
de notre monde et se réapproprie la ville en
la faisant évoluer à volonté et
en trois dimensions.
- François Chalet, graphiste, illustrateur
et réalisateur, imagine une ville racontant
une histoire. Il samuse avec larchitecture
et la symbolique de celle-ci et y introduit les personnages
quil affectionne. Une ville pour nous faire rêver...
[www.francoischalet.ch]
Vidéo/photo
Les images collectées constituent de véritables
témoignages visuels de la culture électronique.
Les fêtes se succèdent et les images laissent
dans la mémoire du public autant de souvenirs,
voire davantage, que les musiques des artistes programmés.
"Archéologie du présent, Catalogue
2", photos et vidéos par Yvette Neliaz.
Elle est une figure incontournable du landerneau électro.
Au début des années 90, en compagnie de
sa compagne Liza Néliaz, DJ star des premières
raves, Yvette s'investit dans le mouvement techno :
coupes de vêtements excentriques, du flyer
et de la déco extérieure de la célébrissime
invader d'Ivry dite "Rave Poubelle". Dix
ans plus tard, elle fait des nuits parisiennes le sujet
de son uvre, comme en témoigne son site
Web damepipi.com : un regard unique, décalé
(décadré !) et amoureux sur le peuple
des noctambules.
Spécialement conçu pour les Rendez-Vous
Électroniques, "Archéologie du présent,
Catalogue 2" comprend des images réalisées
ces deux dernières années (le sourire
en coin de Jeff Mills, un des plus beaux portraits jamais
réalisés du célèbre DJ,
un polytechnicien en grand uniforme au Queen...) et
un reportage réalisé cet été
lors d'une installation de l'artiste au festival Astropolis.
Erwan Perron.
René Licata présente "Techno
Places". Des premiers clubs acid-house parisiens,
les grandes raves des années 90, des teknivals,
des free parties et enfin les clubs. "La techno
envahit tout, des clubs discos aux lieux institutionnels
en passant par les friches industrielles, les squats
artistiques, les forêts éloignées
de la ville, les bords de plage, les avenues et places
des grandes villes
Je filme tous ces lieux depuis
près de 15 ans, surtout à Paris mais aussi
ailleurs en France et à létranger.
À travers la diversité dendroits,
la même énergie en est toujours ressortie,
lénergie que la danse et la rencontre de
lautre produisent jusquau bout de la nuit."
General Dub est un collectif dartistes regroupant
musiciens, photographes, peintres, auteurs, webmasters.
Ils nous présentent une série de photographies
: un témoignage de ce que furent les derniers
jours sur Terre avant son évacuation immédiate
vers les enfers de Mars666.
Pierre-Emmanuel Rastoin : photographe professionnel,
il couvre depuis toujours les événements
liés à la musique électronique,
en France comme à létranger. Il
a participé notamment au brillant ouvrage "Global
Techno" (Éditions du Camion Blanc, 1999).
Régis Grman : le photographe préféré
de Technopol exposera une sélection dimages
des dernières éditions des Rendez-Vous
Électroniques et de la Techno Parade.
Eva-Marie Pinon : le 15 Mai dernier dans le cadre
de l'exposition Live au Palais de Tokyo, WLA Creative
Event imaginait une rencontre entre les musiciens Richard
D.James (alias Aphex Twin), Gwen Jamois et le plasticien
Stephane Coville. L'installation dévoilait
progressivement les deux musiciens lors dune performance
dune heure et demie de musique concrète
détonante. Le spectateur était immergé
au milieu de projections de pixels lumineux et de méduses
aux filaments de fibre optique imaginé par Zing
(alias Stéphane Coville) dans son univers de
lycra tendu. Un DVD réalisé par le
graphiste Franck Viennois et le studio Kremlin permet
de revivre cette installation qui fut l'un des grands
moments de live le 15 mai dernier. Prochain rendez-vous
transversal de WLA le 2 octobre prochain pour la Nuit
Blanche.
[www.weloveacid.com]
Et aussi : Parissi.com, Alex Spala, Tofz.org, le
Cream, le Fuse, le Boom et Nordik Impact.
Les clips
Par labsence de paroles et de chanteurs, les musiques
électroniques donnent loccasion aux réalisateurs
de représenter des clips où seuls le rythme,
lambiance sonore et le timbre deviennent les éléments
conducteurs de la création visuelle. Par conséquent,
cette nouvelle génération de créateurs
envisage souvent la musique comme une architecture et
utilise lurbain comme source dinspiration.
Un collectif dartistes graphistes évoluant
en milieu urbain investira le Pavillon de lArsenal.
Le collectif des Stickopathes (malade de stickers)
armé de photocopies, de ciseaux, de brosses et
de pots de colle "stickopatheront"
le Pavillon de lArsenal. [www.fotolog.net/les_stickopathes] |
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La Maison Européenne de la Photographie
5-7, rue de Fourcy, 75004 Paris, M° : St-Paul |
Accès
gratuit sur présentation du journal des Rendez-Vous
Électroniques
De 16 h à 19 h 30 le mercredi 15 septembre.
Pour cette première journée, musiciens,
réalisateurs et graphistes viennent expliquer
leur travail, confronter leurs méthodes autour
du rapport quentretiennent les musiques électroniques
et les "faiseurs dimages".
Après avoir diffusé un extrait de leurs
travaux, les différents intervenants auront loccasion
de sexprimer sur leur approche de limage
mais également sur un certain nombre de questions
: La musique électronique permet-elle plus
de liberté graphique ? Inversement, limage
pourrait-elle devenir support de la création
musicale électronique ? Le DVD est-il un support
davenir pour ce genre de travaux ?
Cette présentation-conférence sera
modérée par Isabelle Arvers.
Isabelle Arvers est commissaire dexposition,
spécialisée dans les nouveaux médias.
Elle collabore régulièrement avec le Centre
Pompidou et a mis en place la partie jeux de Villette
Numérique 2002. Récemment, elle a été
commissaire dexposition de la partie net art du
festival italien Banana Ram.
Charles Petit : producteur au sein de la société
"le Village", il a commencé à
produire des clips dès 1986.
Il a accompagné lémergence de la
"French touch" en produisant pour
des labels indépendants les clips de Superdiscount
en 1996, suivi des clips dAlex Gopher, Cosmo Vitelli,
Laurent Garnier, Kojak, Tommy Hools, Roudoudou, I:Cube,
Rinoçeroze et, plus récemment, YeYe Style.
Aujourdhui, Charles Petit a rejoint la société
"Yellow House".
[www.yellowhouse.tv]
Éric Dalbin est cofondateur des labels de
musique Logistic Records et Telegraph. Depuis 2001,
il se tourne vers lunivers de la culture visuelle
et devient le représentant français de
la maison dédition de livres berlinoise
Die Gestalten.
En parallèle, il organise des performances en
temps réel entre musiciens et "visualistes"
quil décline à travers une programmation
de sets dans des lieux divers et prestigieux tels que
le Centre Pompidou, lIRCAM, Mains duvres,
le Nouveau Casino ou le Rex Club, et dernièrement
pour linauguration de Lille 2004.
Fort de cette double expérience, il crée
le label Dalbin en 2003 afin de présenter pour
la première fois les collaborations de ces artistes
sous forme dalbums de musiques visuelles. [www.dalbin.com]
Laurent Hart : réalisateur de clips, de
courts métrages, de publicités, de sites
Web, il travaille essentiellement sur la question de
la redéfinition de lactivité artistique
via les nouvelles technologies. Auteur des clips de
Norazia, dOlaf Hund ou encore de Vegomatic ainsi
que du court métrage Cartonman, il est régulièrement
sélectionné dans tous les plus grands
festivals darts multimédias, de Berlin
à Toronto en passant par Rotterdam. [www.cartonman.net]
Xerak : Illustrations, animations, musiques,
Xerak développe toutes les facettes de la création
pour y mixer ses influences: pop, électro,
pixel music, manga, punk ou musique concrète.
Imaginant une combinaison spatiale idyllique, bidouillant
les genres surexposés aux rayons X, Xerak invite
à la (ré)création numérique
dans son univers confectionné de toutes pièces.
[www.xerak.com]
Xavier Boissarie vient nous présenter
Ring. Il sagit dun clip interactif né
de lassociation entre plusieurs artistes : Ark
pour la musique, Melon Dezign pour limage et lui-même
pour linteraction. Lenvironnement de
ce jeu symbolise une boucle musicale qui évolue
au gré des manipulations du joueur. Le cycle
de la boucle structure le rythme de la musique. Le joueur
intervient sur cette boucle en temps réel. Chaque
événement
prend corps à travers limage comme à
travers la musique vivante.
Jeudi 16 septembre
Les VJs (Vidéos Jockey) viennent présenter
leurs créations, expliquer leur façon
de travailler.
Certains mixent des extraits de vieux films, dautres
mélangent des peintures, utilisent des diapos...
Après nous avoir présenté leurs
travails, les différents artistes nous parleront
de leur façon de travailler. Enfin, ils échangeront
autour de lavenir du vjing.
Cette présentation-conférence est modérée
par Laurent Carlier.
Laurent Carlier a mis en place Les Réseaux
de la Création, festival de vidéo numérique
populaire. Il anime et organise de nombreux événements
autour du vjing et plus largement de la vidéo
numérique.
[www.reseaux-creation.org]
Negralux est un collectif d'artistes venus d'horizons
divers. Photographes, vidéastes et cinéastes
se réunissent pour confectionner des mosaïques
géantes d'images lors de concerts, d'événements
ou dans des parcours déambulatoires. Ils projettent
sur des supports les plus variés du simple écran
à la vieille pierre, du film plastique aux écrans
d'eau. Leurs supports sont tout aussi divers, argentiques
(diapos, films en Super 8, 16 ou 35 mm), numériques
(vidéos, échos et larsens vidéos),
ou encore purement picturales (verre, plexiglas, vernis,
grattage). Le tout est mélangé à
des captations live. [www.negralux.org]
Urbrain alias Alexandre Rety : Les photos de
Urbrain naissent de la musique des free parties (techno,
hardcore). Ce qui n'était qu'une passion est
vite devenu un métier. Urbrain porte une affection
particulière pour ce milieu underground, ce qui
ne l'empêche pas d'évoluer dans un contexte
plus branché, celui des clubs et des soirées
privées. Ses images numériques et argentiques,
projetées via plusieurs projecteurs diapo, se
superposent sur des écrans géants jusqu'à
former dimmenses fresques. Le mouvement est créé
par des effets stroboscopiques.
Agora Project : Passionné de musique et
de vidéo, il est depuis de longue date attiré
par les images mentales que lui inspire la danse. Agora
est né de la fusion de la musique, de la danse
et d'images psychoactives. Les performances live sur
de grands écrans renforcent cette idée
où le danseur/spectateur est complètement
immergé dans limage et celle-ci "twiste"
avec le beat. [www.agoraproject.net]
KSKF : Cest une plate-forme qui rassemble
des artistes travaillant chacun dans des domaines artistiques
distincts :
musique, vidéo ou encore scénographie.
Quatre artistes, chercheurs (deux vidéastes et
deux musiciens)
réunis dans un projet de création et liés
par un souci commun : lusage de toutes les nouvelles
technologies
mises au service de la recherche artistique, de la production
audiovisuelle. [www.kskf.org] |
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LEntrepôt, 7, rue Francis-de-Pressensé, 75014 Paris, M° : Pernety, Entrée : 4 € |
Ce cinéma
indépendant accueille une programmation de
documentaires qui portent un regard sur les cultures
électroniques. Cette expression assez nouvelle
a besoin d'être comprise à l'heure où
certains médias persistent à la caricaturer
et par conséquent à ne pas prendre au
sérieux les personnes qui écoutent, font
et participent à la culture électronique.
Cette série de documentaires a pour objectif
dapporter une meilleure compréhension de
la culture électronique à travers
des images tournées en République Tchèque,
en Afrique, en Colombie, en Islande et aux États-Unis.
Mardi 14 septembre
Une première séance en présence
des réalisateurs sattachera à mettre
en avant les rencontres suscitées par la culture
électronique à travers le voyage et léchange.
20 h : "African Expedisound" réalisateurs
Xtof et Damien Raclot (2004, 52 min).
Décembre 2002, trois sound systems français
(Tomahawk, Teknokrates et les In/Out/True) forment
lAfrican Expedisound : 5 camions et une dizaine
de personnes au total pour un trajet de 15 000 km dans
le Sahara à travers le Maroc, la Mauritanie,
le Sénégal et le Mali. À leur bord,
un studio vidéo, un sound system de 8 kW, une
discothèque de 700 vinyles et du matériel
denregistrement. Leur but : rencontre et mixité
culturelles entre percussions et électronique.
La réalité sur place sera bien différente.
22 h : "Traveller Tchèque"de Yann
Richet (2004, 52 min).
Ce documentaire raconte le périple dun
collectif de musiciens électroniques vers la
République tchèque. À l'époque
où la free party est devenue un phénomène
de masse en Occident, certains sound systems décident
de partir sur les routes de l'Est. Dans cette nouvelle
Europe, la free party découvre un public affranchi
et retrouve l'esprit originel de ces fêtes libres
et gratuites. Une aventure au-delà des frontières
à la conquête d'un esprit alternatif et
libre-penseur.
"Bogotrax"de Louis Blanchet-Kapnist (2004, 26 min).
Reportage sur le premier festival de musiques électroniques
à Bogota (Colombie). Organisé par les
collectifs Microchipcha, Ultra Bass Sound Cartel et
lassociation franco-colombienne Lucha Libre,
avec des lives, DJs et VJs locaux ainsi que 9 DJs français
(Miss Ficel, Konix, R.one, Dr Fly, Lologramm, Jedy,
Muad Dib, Jeef, Kapnist).
Mercredi 15 septembre à 20 h
Une deuxième séance, toujours en présence
des réalisateurs, mettra en évidence quant
à elle les liens étroits quentretient
la création électronique avec son environnement
urbain, à travers deux documentaires :
"64°09N 21°57W Reykjavik"
de Jan Oellrich et Christian Kantuzer (2004, 26 min).
Ce documentaire explore la scène électronique
à Reykjavik en Islande. Lidée est
de rendre compte de sa spécificité à
travers lurbanisme particulier de cette ville.
Le projet des deux réalisateurs allemands est
détendre cette étude à dautres
villes (Mexico, Barcelone, Shanghai, Belgrade
).
[www.freischwimmerfilms.com]
"Mister De, a Detroit Story" de Jean-Christophe
Gaudry (2004, 52 min).
Cest lhistoire dune ville à
travers le portrait dun homme qui incarne à
son échelle les espoirs et les craintes de toute
une communauté. Nous sommes à Detroit,
cité postindustrielle du nord des États-Unis
dAmérique en compagnie dAde "Mango"
Mainor, dit Mr De, producteur et musicien afro-américain.
Vivant dans une des villes les plus pauvres et les plus
dangereuses des USA, celui-ci a lambition affichée
de mener à bien une entreprise culturelle et
économique qui sinspirerait du légendaire
label Tamla Motown. |
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Le Centre Pompidou, 19,
rue Beaubourg, 75004 Paris, M° : Rambuteau
Entrée : plein tarif 10 €, tarif réduit 6 € |
Samedi 11 septembre à 20 h 30
Cinémix : Erik M vs Pita sur le film "Paris
qui dort" de René Clair (1923) / 34 minutes
Les deux musiciens Erik M et Pita ont bien lair
décidé à en découdre. Lun
après lautre, ils vont tenter de réveiller
le "Paris qui dort" de René Clair,
première uvre réalisée en
1923. Résolument avant-gardiste (et visionnaire),
le cinéaste imagine Paris sous lemprise
dun savant fou qui a figé la ville dans
son mouvement, comme un hommage inquiet à la
photographie
Les deux artistes proposeront donc
successivement deux visions du film, deux univers et
finalement deux films
Pita (Mego / Autriche) : Boss du label viennois
Mego, Pita excelle dans lécriture musicale
électronique, il travaille régulièrement
avec des plasticiens et des chorégraphes. LAutrichien
a la fâcheuse habitude de mettre tout le monde
KO dès les premières secondes. Pita enchaîne
les phases, distord les sons et envoûte lauditoire
à chacun de ses lives.
Erik M : Face à Pita, Erik M : le sculpteur
de disques. Passé maître dans la fusion
musiques populaires/musiques savantes, Erik M a toutes
les qualités du designer sonore. Parfaitement
à laise dans lexercice, il collabore
fréquemment à des projets qui explorent
le rapport images/son. Acharné et convaincu,
il est fermement décidé à remporter la mise.
En coproduction avec les Spectacles Vivants - Centre Pompidou |
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